. Sur la page du poète Michaël Glück, qui m’autorise à le citer, ces mots désabusés : …rien ne change, rien n’a changé, j’eusse pourtant aimé que cessât la continuation de ce qui fut et qui sera, j’eusse aimé que la haine ne prît la suite de la haine avec pire que la loi du talion, œil pour yeux, dent pour mâchoire, tout augmente en temps de guerre ; bien.. Read More